Trois ouvriers installent des panneaux solaires sur le toit d'un bâtiment dans le cadre de travaux déductibles d'impôts.

On ne vous apprend rien : la réalisation de travaux dans votre logement peut non seulement améliorer votre confort, mais aussi alléger votre facture fiscale. 

Bonne nouvelle pour ceux qui ont des projets et souhaitent passer l’étape des travaux : en 2024, de nombreuses mesures permettent de déduire une partie des dépenses liées à des travaux de rénovation, d’amélioration, ou d’entretien de votre habitation. 

Que vous soyez propriétaire occupant, bailleur ou copropriétaire, il est possible de bénéficier d’avantages fiscaux conséquents.

Au travers de cet article, nous allons détailler les différentes catégories de travaux déductibles des impôts, la législation qui encadre ces déductions, ainsi que les démarches à suivre pour en profiter pleinement.

Travaux déductibles des impôts en 2024 : 3 catégories

Pour 2024, les travaux déductibles des impôts se répartissent en trois grandes catégories : les dépenses d’amélioration, les dépenses de réparation et d’entretien, et les dépenses de construction, reconstruction ou d’agrandissement. 

Chacune de ces catégories répond à des critères très précis, et il est donc important de bien comprendre les différences pour maximiser vos chances de bénéficier d’une réduction d’impôt. 

Les dépenses d’amélioration

Les dépenses d’amélioration concernent les travaux visant à augmenter le confort, la modernité ou l’efficacité énergétique d’un logement, sans en modifier la structure fondamentale. 

Contrairement aux travaux de construction ou de rénovation lourde, qui modifient la forme ou l’agencement du bien, les travaux d’amélioration se concentrent sur l’optimisation des équipements existants ou l’ajout de nouveaux équipements, tout en maintenant l’intégrité architecturale et structurelle de l’habitation.

Ces travaux sont particulièrement intéressants d’un point de vue fiscal, car ils permettent souvent de bénéficier de réductions d’impôts, surtout lorsque les travaux concernent la rénovation énergétique, un axe fortement encouragé par le gouvernement. 

En effet, face aux enjeux climatiques et aux objectifs de transition énergétique, les travaux qui visent à améliorer la performance énergétique d’un logement sont au cœur des dispositifs fiscaux en vigueur.

Exemples de dépenses d’amélioration déductibles

Les travaux d’amélioration peuvent prendre plusieurs formes. Voici quelques exemples concrets de dépenses qui entrent dans cette catégorie :

  • Installation d’un nouveau système de chauffage : Le remplacement d’une chaudière ancienne par un modèle plus performant, comme une chaudière à condensation ou une pompe à chaleur, est un exemple typique de dépense d’amélioration. 

Ces dispositifs permettent non seulement d’optimiser le confort thermique de la maison, mais aussi de réaliser des économies d’énergie substantielles, en consommant moins de combustible pour un rendement supérieur. 

En 2024, ces travaux peuvent non seulement être déduits des impôts dans certaines circonstances, mais aussi bénéficier d’aides comme Ma Prime Rénov’.

  • Pose de fenêtres à double vitrage : Remplacer des fenêtres à simple vitrage par des modèles à double, voire triple vitrage, est une autre dépense courante d’amélioration. 

Ce type de travaux permet de renforcer l’isolation thermique et phonique du logement, tout en réduisant les déperditions de chaleur. Les économies d’énergie réalisées grâce à ce type d’installation peuvent être conséquentes, et en fonction des conditions, il est possible de prétendre à des aides financières ainsi qu’à une déduction fiscale.

Ces travaux sont donc très prisés des propriétaires soucieux de réduire leur empreinte énergétique.

  • Installation d’un système de climatisation : Dans les régions où les étés sont de plus en plus chauds, installer un système de climatisation performant peut être considéré comme une amélioration majeure. 

Il est toutefois important de noter que, pour être déductible d’un point de vue fiscal, l’installation doit répondre à certains critères de performance énergétique. Les systèmes de climatisation réversibles, qui font également office de chauffage en hiver, sont particulièrement éligibles.

  • Amélioration des systèmes de ventilation : Installer une VMC (ventilation mécanique contrôlée) ou améliorer les systèmes de ventilation existants peut avoir un impact significatif sur la qualité de l’air intérieur d’un logement, tout en optimisant son efficacité énergétique. 

Une meilleure ventilation permet de réduire l’humidité et d’éviter la condensation, responsable des moisissures et des dégradations structurelles à long terme. Ce type de travaux est donc souvent perçu comme un investissement à long terme pour la santé des occupants et la durabilité du bien immobilier.

  • Modernisation des équipements sanitaires ou de cuisine : Rénover une salle de bain ou une cuisine pour en améliorer le confort et l’esthétique sans changer l’agencement global du logement est également une dépense d’amélioration. 

Par exemple, remplacer des appareils obsolètes par des équipements plus économes en eau ou en électricité entre dans cette catégorie. La modernisation des sanitaires, l’ajout de dispositifs économiseurs d’eau, ou l’installation de douches italiennes accessibles pour les personnes à mobilité réduite sont également des dépenses d’amélioration courantes.

Les avantages fiscaux liés aux dépenses d’amélioration

Les dépenses d’amélioration sont largement encouragées par l’État à travers différents dispositifs fiscaux, notamment lorsque ces travaux contribuent à la transition énergétique. Cela s’explique par la volonté du gouvernement de réduire la consommation énergétique des logements en France, qui représentent une part importante des émissions de gaz à effet de serre.

Les propriétaires qui effectuent des travaux d’amélioration, en particulier ceux visant à réduire la consommation énergétique, peuvent bénéficier de plusieurs avantages fiscaux :

  • Réduction d’impôt via Ma Prime Rénov’ : Ce dispositif est destiné aux propriétaires occupants, bailleurs, et copropriétaires, et il permet de financer une partie des travaux d’amélioration énergétique. Le montant de l’aide varie en fonction des ressources du ménage et de la nature des travaux, mais elle peut couvrir une partie significative des coûts d’installation de nouveaux équipements performants.
  • Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) : Bien que ce crédit ait été remplacé progressivement par Ma Prime Rénov’, certains travaux réalisés en 2024 peuvent encore bénéficier de ce dispositif, en particulier pour les ménages aux revenus intermédiaires. 

Le CITE permet de déduire une partie des dépenses d’amélioration énergétique directement de l’impôt sur le revenu, ce qui peut représenter une économie substantielle.

  • Éco-prêt à taux zéro : Pour financer les travaux d’amélioration sans alourdir son budget, il est possible de souscrire à un éco-prêt à taux zéro. Ce prêt, remboursable sans intérêt, est un moyen efficace de financer des travaux d’amélioration énergétique, comme l’installation de panneaux solaires, l’isolation thermique ou le remplacement du chauffage.

Comment bénéficier des avantages fiscaux sur les dépenses d’amélioration

Pour bénéficier des déductions fiscales liées aux dépenses d’amélioration, il est essentiel de suivre certaines étapes :

  1. Faire appel à des professionnels certifiés : Seuls les travaux réalisés par des entreprises ou des artisans possédant le label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) sont éligibles aux avantages fiscaux pour les rénovations énergétiques. 

Ce label garantit que les professionnels respectent des normes spécifiques en matière de performance énergétique et de qualité d’exécution.

  1. Conserver toutes les factures et justificatifs : Lors de la déclaration de revenus, les contribuables doivent être en mesure de fournir toutes les factures détaillées des travaux réalisés. Ces documents sont essentiels pour justifier les montants déduits ou les crédits d’impôt demandés.
  1. Déclarer les travaux sur sa déclaration de revenus : Les montants des travaux doivent être correctement reportés dans les cases spécifiques du formulaire de déclaration d’impôt. Dans le cas des propriétaires bailleurs, les dépenses d’amélioration peuvent être déduites des revenus fonciers dans le cadre du régime réel d’imposition.

En résumé, les dépenses d’amélioration offrent de nombreux avantages aux propriétaires, non seulement en termes de confort et d’économie d’énergie, mais aussi d’allègements fiscaux. Il s’agit donc d’un levier important à exploiter, notamment dans un contexte où l’efficacité énergétique est devenue une priorité nationale.

Les dépenses de réparation et d’entretien

Les dépenses de réparation et d’entretien sont essentielles pour maintenir un bien immobilier en bon état, sans pour autant en modifier la structure ou les équipements principaux. Ces travaux sont réalisés pour préserver le logement dans son état d’origine ou pour réparer des éléments détériorés par le temps ou l’usage. 

Contrairement aux travaux d’amélioration, qui apportent un gain en confort ou en modernité, ceux de réparation visent simplement à maintenir la valeur du bien immobilier. Ce type de dépenses peut être déduit des revenus fonciers pour les propriétaires bailleurs, sous certaines conditions.

Exemples courants de travaux de réparation et d’entretien

  • Rénovation de la toiture : La reparations de toit est l’un des exemples les plus fréquents de travaux de réparation. Cela inclut le remplacement des tuiles endommagées ou la réparation de l’étanchéité pour prévenir des infiltrations d’eau. Une toiture en mauvais état peut causer des dégâts importants dans la maison (murs, isolation thermique), d’où l’importance de maintenir cette partie du bâtiment en bon état.
  • Réparation de la plomberie et des systèmes électriques : Les installations d’eau et d’électricité nécessitent souvent des réparations pour rester aux normes ou assurer leur bon fonctionnement. Par exemple, la remise en état d’un système électrique vieillissant ou la réparation de canalisations endommagées entre dans cette catégorie. 

Ce type de travaux est particulièrement important dans les logements anciens, où les systèmes peuvent être obsolètes ou présenter des risques pour la sécurité des occupants.

  • Ravalement de façade : La rénovation de façades consiste à remettre en état les murs extérieurs d’un bâtiment. Il peut s’agir de nettoyer, repeindre, ou réparer les murs abîmés par les intempéries ou la pollution. 

Ce type de travaux est parfois obligatoire dans certaines municipalités, qui imposent des ravalements périodiques pour maintenir l’esthétique des quartiers.

  • Entretien des sols et des murs intérieurs : Cela inclut la réparation ou le remplacement des revêtements de sol usés (parquet, carrelage, moquette), ainsi que la peinture ou le réenduisage des murs intérieurs. Ces opérations ne modifient pas la structure du logement, mais elles sont nécessaires pour conserver l’état de propreté et d’habitabilité du bien.

Conditions de déductibilité des dépenses de réparation et d’entretien

Pour les propriétaires bailleurs, les travaux de réparation et d’entretien sont déductibles des revenus fonciers dans le cadre du régime réel d’imposition. Cependant, il est important de respecter certaines conditions pour que ces dépenses soient effectivement déductibles. 

D’abord, les travaux doivent concerner un bien mis en location, et non un bien utilisé à titre personnel par le propriétaire. Ensuite, ils doivent être réalisés pour maintenir ou remettre en état le bien immobilier, sans lui apporter d’améliorations substantielles ou modifier sa structure.

Enfin, il est impératif de conserver toutes les factures des travaux effectués, ainsi que les devis, afin de pouvoir justifier la nature et le coût des réparations auprès de l’administration fiscale. Si ces documents ne sont pas fournis, l’administration peut refuser la déduction, ce qui peut entraîner un redressement fiscal.

Limites et exceptions

Il est également essentiel de faire la distinction entre les travaux de réparation et ceux qui apportent une valeur ajoutée au bien (comme les travaux d’amélioration). Les dépenses de réparation et d’entretien visent uniquement à conserver l’état initial du bien. 

En revanche, des travaux qui augmentent la surface habitable ou modernisent les installations principales (comme la transformation d’un grenier en chambre) sont considérés comme des travaux d’amélioration et ne sont pas éligibles à la déduction fiscale au titre de la réparation.

Les dépenses de construction, reconstruction ou d’agrandissement

Ces travaux concernent les opérations qui modifient la structure du bien ou en augmentent la surface habitable. En règle générale, les travaux de construction, de reconstruction ou d’agrandissement ne sont pas déductibles des revenus fonciers, mais ils peuvent bénéficier d’autres avantages fiscaux, notamment dans le cadre de dispositifs spécifiques comme la loi Pinel ou la loi Denormandie.

Exemples de travaux de construction ou d’agrandissement :

  • La construction d’une extension ou d’une véranda.
  • La surélévation d’une maison.
  • La transformation d’un grenier en chambre habitable.

Les propriétaires bailleurs peuvent toutefois intégrer ces travaux dans le calcul de la plus-value immobilière lors de la revente du bien, sous certaines conditions.

Travaux locatifs déductibles des impôts : liste complète

Un ouvrier supervise l'installation des panneaux solaires en regardant de bas en haut vers le toit du bâtiment, dans le cadre des travaux déductibles d'impôts.

Si vous êtes propriétaire d’un bien immobilier que vous louez, les travaux que vous effectuez dans ce logement peuvent, sous certaines conditions, être déduits de vos revenus fonciers. Cette déduction vous permet de réduire la part imposable de vos loyers perçus, allégeant ainsi votre fiscalité. Voici une liste complète des travaux locatifs éligibles en 2024.

Travaux de jardinage

Les dépenses liées à l’entretien des espaces extérieurs, comme les jardins, peuvent être déduites des impôts. Cela inclut :

  • La tonte de pelouse.
  • La taille des haies et des arbres.
  • Le débroussaillage.

Ces dépenses sont plafonnées annuellement, mais elles peuvent être déduites des revenus fonciers des propriétaires bailleurs.

Déficit foncier

Le déficit foncier survient lorsque le montant des travaux dépasse celui des loyers perçus. Ce déficit peut être reporté et déduit des revenus globaux dans la limite de 10 700 € par an, offrant ainsi un levier fiscal important pour les propriétaires bailleurs. Les travaux éligibles dans ce cadre sont principalement ceux de réparation et d’entretien.

Travaux de copropriété

En tant que copropriétaire, vous êtes responsable des travaux effectués dans les parties communes de l’immeuble (entrait toit terrasse copropriété). Les charges de copropriété liées aux travaux de réparation et d’entretien des parties communes peuvent être déduites de vos revenus fonciers. Ces travaux incluent :

  • Le ravalement de façade.
  • La rénovation des parties communes (hall, ascenseurs, etc.).
  • Les travaux de mise aux normes des installations collectives.

Logements neufs

Pour les logements neufs mis en location, il n’est généralement pas possible de déduire des travaux, sauf dans le cadre de dispositifs fiscaux spécifiques comme la loi Pinel, qui permet de bénéficier d’une réduction d’impôt pour les propriétaires s’engageant à louer leur bien sur une durée de 6 à 12 ans.

Logements anciens

Pour les logements anciens, en particulier ceux nécessitant des rénovations importantes, des dispositifs comme la loi Denormandie permettent de déduire les travaux de rénovation effectués dans certaines zones géographiques. Ce dispositif s’adresse notamment aux logements situés dans les centres-villes dégradés.

Autres travaux déductibles

Les propriétaires bailleurs peuvent également déduire :

  • Les frais d’assurance (assurance habitation, garantie loyers impayés).
  • Les frais de gestion locative.
  • Les intérêts d’emprunt liés à l’acquisition du bien.

Travaux dans la maison principale ou secondaire : quels sont ceux qui peuvent être déduits ?

Que vous réalisiez des travaux dans votre résidence principale ou secondaire, certaines dépenses peuvent être déductibles. Toutefois, il est important de noter que les règles varient en fonction du type de logement.

Résidence principale

Les travaux effectués dans une résidence principale peuvent bénéficier d’une réduction d’impôt, notamment ceux liés à la rénovation énergétique. En 2024, les travaux d’isolation thermique (isolation des toits toits tout ce que vous devez savoir), combles, des murs, changement de fenêtres) sont toujours favorisés dans le cadre des aides comme Ma Prime Rénov’. D’autres travaux, comme l’adaptation du logement pour les personnes âgées ou à mobilité réduite, sont également déductibles.

En revanche, les travaux d’agrandissement ou de reconstruction ne donnent pas droit à une déduction d’impôt pour la résidence principale.

Résidence secondaire

Les travaux réalisés dans une résidence secondaire ne sont généralement pas déductibles des impôts, à l’exception des travaux de rénovation énergétique dans le cadre de certains dispositifs. Si vous louez votre résidence secondaire de manière occasionnelle, vous pouvez déduire certains travaux de réparation ou d’entretien de vos revenus locatifs.

Que faire pour obtenir une déduction fiscale (ou autre avantage) sur les travaux

Les trois ouvriers posent fièrement avec le dernier panneau solaire installé, après avoir terminé les travaux déductibles d'impôts.

Obtenir une déduction fiscale pour vos travaux implique de respecter certaines démarches administratives. Voici les étapes à suivre pour maximiser vos chances d’obtenir une déduction.

  1. Vérifier l’éligibilité des travaux : Avant de commencer, il est essentiel de vérifier si les travaux envisagés sont éligibles à une déduction fiscale ou à une aide spécifique. Les critères peuvent varier en fonction de la nature des travaux, de la localisation du bien et du type de logement (résidence principale ou locative).
  1. Obtenir des devis détaillés : Pour toute demande de déduction ou d’aide, il est nécessaire de fournir des devis détaillés des travaux à réaliser. Assurez-vous que ces devis soient réalisés par des professionnels certifiés, en particulier pour les travaux d’isolation thermique où des qualifications comme RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) sont requises.
  1. Conserver toutes les factures : Une fois les travaux réalisés, il est impératif de conserver toutes les factures détaillées, qui seront demandées lors de la déclaration d’impôt. Ces factures doivent mentionner clairement la nature des travaux et le montant total payé.
  1. Remplir correctement la déclaration de revenus : Lors de la déclaration de vos revenus, vous devez reporter les montants des travaux dans les cases dédiées. En fonction du type de travaux et de leur montant, différentes annexes peuvent être nécessaires, notamment pour les revenus fonciers.
  1. Solliciter des aides complémentaires : En parallèle des déductions fiscales, n’hésitez pas à solliciter des aides comme Ma Prime Rénov’, le CITE (Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique), ou encore les aides de l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat).

Pensées finales 

Pour bénéficier d’une déduction fiscale sur vos travaux en 2024, il est crucial de bien comprendre la législation et de respecter les critères d’éligibilité. Les travaux d’amélioration, de réparation et d’entretien sont ceux qui offrent le plus de possibilités de déductions, surtout pour les propriétaires bailleurs. 

Les dispositifs tels que la loi Pinel ou la loi Denormandie apportent des avantages fiscaux supplémentaires pour les logements neufs et anciens.

En résumé :

  • Choisissez les travaux avec soin en fonction des déductions fiscales possibles.
  • Conservez tous les documents nécessaires (devis, factures, justificatifs).
  • Ne négligez pas les aides complémentaires comme Ma Prime Rénov’.
  • Remplissez correctement votre déclaration de revenus.

En suivant ces conseils, vous pourrez maximiser vos économies fiscales tout en augmentant la valeur de votre patrimoine immobilier.

Si vous avez des projets de travaux pour 2025, c’est le moment idéal pour vous renseigner sur les avantages fiscaux et ainsi profiter des opportunités offertes par la législation actuelle !

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